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Sybille de Bollardière
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Irmeli Jung, les vagues de la Baie des Anges

20 Mai 2015, 14:16pm

Publié par Sybille de Bollardiere

Irmeli Jung, les vagues de la Baie des Anges
Irmeli Jung, les vagues de la Baie des AngesIrmeli Jung, les vagues de la Baie des Anges
Irmeli Jung, les vagues de la Baie des Anges

Irmeli Jung est une photographe d'exception, cette finlandaise d'origine est connue entre autres pour ses portraits de Juliette Gréco, Lauren Bacall, Régines Desforges, Marguerite Yourcenar, Françoise Sagan, Jane Birkin, Cioran...

Installée depuis quelques années sur la côte d'azur, c'est un autre univers qu'elle explore aujourd'hui : la mer, les vagues, les galets avec toujours cette douceur incomparable.

Elle expose actuellement à L'Espace des femmes - Antoinette Fouque
du 19 mai au 1 août 2015 du mardi au samedi de 14 à 19 heures
35, rue Jacob - Paris 6 ème www.desfemmes.fr

 

Le site d'Irmeli Jung : http://irmeli.jung.free.fr/accueil.htm

Portraits de Juliette Gréco par Irmeli Jung : https://youtu.be/K69Rh4UyuUY

 

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Lecture et dédicace le 21 juin 2015

20 Mai 2015, 10:20am

Publié par Sybille de Bollardiere

Entrée libre

Entrée libre

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Trieste, l'éxilée

12 Mai 2015, 12:37pm

Publié par Sybille de Bollardiere

Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée

Trieste, 7 mai 2015 (Pour voir les photos, utiliser les flèches, menu déroulant)

...Je suis dans la ville d'Irène, dans sa peau, dans sa maison, dans les rues où je l'ai si souvent imaginée. J'écris à la terrasse de Viva qui me servira de modèle pour le livre. Il est arrivé des Pouilles et comme beaucoup ici, il est tombé amoureux de la ville et y est resté. Tables et chaises en bois, spritz et bière slovène, les couples rient, boivent et discutent sous les façades de la piazzetta Barbacan.

A quoi tient le bonheur à Trieste ? A ce sentiment que tout le monde y est chez soi. C'est une ville exilée pour les nomades en quête d'un port d'attache. Trieste la romaine, l'austro-hongroise, la catholique, l'orthodoxe, la juive, italienne par amour est aussi terre d'asile...

...Trieste le soir quand tous se retrouvent avant le coucher du soleil jusqu'à la nuit tombée, du Molo Audace à la Piazza dell'Unita. Trieste le dimanche matin au mythique café San Marco via Battisti...

Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée

Miramar le dernier paradis de l'homme qui voulait absolument être empereur. Un château de carton pâte dans un décor idyllique que Maximilien d'Autriche, frère de l'empereur François-Joseph, habita quelques années avec sa femme Charlotte de Belgique, avant leur départ pour le Mexique et son éxécution le 19 juin 1867.

Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée
Trieste, l'éxilée

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La sérénissime

12 Mai 2015, 08:41am

Publié par Sybille de Bollardiere

La sérénissime
La sérénissimeLa sérénissimeLa sérénissime
La sérénissimeLa sérénissimeLa sérénissime
La sérénissimeLa sérénissimeLa sérénissime

Vaporetti bondés, canaux sillonnés de taxis et places boursouflées de touristes, tout le monde le sait, Venise s'abîme et le gouffre où elle s'enfonce est à la mesure des géants qui la convoitent. Pourtant on continue de l'aimer, de s’enivrer de cette eau verte en courant d'une rive à l'autre, d'une exposition à une visite. Venise convoitée, traversée, pillée, récupérée mais ensoleillée et estivale en ce mois de mai.

J'aime Venise de loin, vue de la Giudecca, de S. Georgio ou du Grand Canal, dans ces vues déjà vues où l'on se retrouve soi-même. J'aime Venise dans ses couleurs et ses recoins : les façades du Ghetto* et les jeux des enfants, les iris de la Giudecca, ses somptueux jardins mais je l'aime aussi dans ce qu'elle cache, ce parc puant la vase où les sans abri finissent leur nuit entre une bière et un banc face à la lagune.

*L'année prochaine le ghetto fêtera ses 500 ans.

Déjeuner à San Georgio
Déjeuner à San GeorgioDéjeuner à San Georgio
Déjeuner à San GeorgioDéjeuner à San GeorgioDéjeuner à San Georgio

Déjeuner à San Georgio

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