Jour de fête au Kerala
De retour oui, mais pas encore et pour quelque temps au milieu d’eux, dans le tintamarre des couleurs et le grondement des vagues, sur la piste des matins tièdes quand le vent, lui aussi se repose. Sur la falaise rouge le soir quand l’ombre apporte sa moisson de rêves. Rester ou revenir, poser sa marque partout, sur chaque recoin de terre ou de sable, croiser chaque regard et s’y noyer pour l’avenir, pour dire qu’ici, je veux dire là-bas, c’est chez moi aussi.
« J’aime les pays où l’on a besoin d’ombre »
Stendhal