La prière: "Je contemple et cette contemplation me fait mal. Je ne pourrai jamais rien demander à Dieu puisque je ne sais pas parler Sa langue."
L'oubli : " Chaque soir il y avait un spectacle, parfois deux. L'oubli creusait alors ses caves profondes. Avec le temps nous les transportâmes en Israël.
Histoire d'une vie, Prix Médicis étranger 2004Aharon Appenfeld Traduit de l'hébreu par Valérie ZenattiA lire aussi : Les eaux tumultueuses, même traductriceet en poésie :"Après la pluie, nous marchions main dans la maindans les jardins bosselés de l'enfanceAu milieu des fleurs écrasées et des eaux vieilles et sales.Pourtant les promenades main dan la main ne se racontent pas."Comme un bal de fantômesEric PoindronEt les saisons bleues de Wang Wei, poète et peintre.Texte français de Patrick Carré - Phébus"Regard fixe à l'abandon -Dissipe un instant ma peine.L'herbe bleue salue l'eau limpide,Les nuages blancs dérivent aux crêtes de turquoise."Et n'hésitez pas à visiter : La Passagère -Edition pour découvrir ses derniers articles, les textes de l'atelier d'écriture
Des années 60 aux années 90, entre la région parisienne, la Normandie et Trieste, un secret et deux femmes entre passion et ressentiment.
Dans ce roman à la belleécriture sensible, Sybille de Bollardière décrit avec une grande justesse la complexité des sentiments et des relations d’Irène et de sa mère la mystérieuse Alice, mais aussi la quête de liberté d'une femme indépendante à la personnalité attachante. Pour Irène ce qui compte « c’est de pouvoir déplacer sa vie et de se laisser emporter par elle… »
Des années 60 aux années 90, LES MAUVAIS SENTIMENTS explore la vie de ces deux femmes et des hommes qu’elles aiment et qui les accompagnent. Mère et fille entre passions et ressentiments jusqu’à la rupture.
Dans ce roman au rythme haletant, Sybille de Bollardière nous emmène entre l’aventure d’Irène et le secret d’Alice, à la manière d’un thriller jusqu’à la dernière page.