Carnet de voyage
Aperçu du carnet de voyage en Inde du sud... Je n'y travaille pas autant que je le voudrais parce qu'il faut aussi faire provision d'instants en toute liberté, sans arrière pensée de mots ou d'images.
Auteure. Romans, récits, poèmes. Atelier d'écriture, photos.
Aperçu du carnet de voyage en Inde du sud... Je n'y travaille pas autant que je le voudrais parce qu'il faut aussi faire provision d'instants en toute liberté, sans arrière pensée de mots ou d'images.
Dans la fournaise de 14 heures, le front de mer déserté. Tout au regret de partir, j'ai longé la digue bien au-delà des limites de la « ville blanche » et découvert le quartier des pêcheurs. A vol d’oiseau, à peine à 300 mètres de mon hôtel... Et pas beaucoup plus loin des belles maisons de Pondichéry…
Qu’elles soient restaurées, abandonnées, tamoules ou européennes les maisons de « la ville blanche », l’ancien quartier français, sont là pour nous faire rêver. On s’installerait bien pour quelques mois d’hiver rue Romain Rolland, rue de Suffren ou encore rue de La Bourdonnais et même rue Perumal ou encore rue Manukula où les maisons sont plus modestes. J’ai sillonné les rues depuis dix jours, fascinée par ces façades colorées et l’explosion des bougainvilliers mais aucune ne rivalise avec le bleu-vert somptueux de la baie du Bengale le long de l’avenue Goubert...
Voici le reste de l'album les maisons de Pondichéry